Les Bruxellois(e)s pourront bientôt eux aussi faire appel à un service de médiation lorsqu’ils estiment rencontrer un problème avec une administration bruxelloise, qu’elle relève de la Région, de la Commission communautaire commune, de la Cocof ou même d’une commune qui ne dispose pas de son médiateur.
Notre rôle de représentants politiques est de défendre au quotidien, dans le respect des uns des autres, les intérêts des Bruxelloises et des Bruxellois.
Un des dossiers qui avait été amorcé sous la précédente législature et qu’il m’a tenu à cœur de faire aboutir est celui qui prévoit l’instauration d’un médiateur – ou d’une médiatrice – régional(e).
L’appel à candidature a été lancé en mars 2020. La procédure de sélection a dû être retardée à cause du confinement, mais la voilà près d’aboutir.
Bruxelles était la seule entité à ne pas encore disposer d’un tel service : depuis de nombreuses années, le Fédéral, la Région wallonne et la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Communauté flamande et la Communauté germanophone ont un médiateur.
Dans le premier trimestre 2021, les Bruxellois(e)s pourront bientôt eux aussi faire appel à ce service de médiation lorsqu’ils estiment rencontrer un problème avec une administration bruxelloise, qu’elle relève de la Région, de la Commission communautaire commune, de la Cocof ou même d’une commune qui ne dispose pas de son médiateur.
Les Bruxellois auront alors les mêmes droits que leurs concitoyens !